- EAN13
- 9782365697446
- ISBN
- 978-2-36569-744-6
- Éditeur
- Les Escales
- Date de publication
- 27/04/2023
- Nombre de pages
- 368
- Dimensions
- 22,7 x 14,3 x 2,7 cm
- Poids
- 400 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Un grand roman d'amour et d'amitié sur une époque hantée.
Paris, octobre 1913. Germaine et Louise se rencontrent sur les bancs de l'école. C'est le début d'une ardente amitié, que vient percuter la Grande Guerre. Les pères s'en vont, les mères restent avec leurs filles. Cette guerre, qui assassine les uns et hante le regard des autres, donne la nausée à Germaine. Louise, elle, s'enflamme pour la patrie et ses soldats qui risquent leur vie pour elle. Les années passent, sanglantes. Certains rentrent, d'autres non. C'est l'après, suintant la guerre jusqu'à la moelle.
En 1924, sur l'île de la Grenouillère, à Chatou, on organise une " foire aux fiancés ", afin de former des couples qui " redonneront vie à la patrie ". On se regarde, on se frôle, on valse sur Ne bercez pas mon cœur. Les deux amies sont de la fête. Louise attire tous les regards. Surtout celui de Ferdinand, dont la joue barrée d'une cicatrice rappelle que la guerre continue bien après le silence des armes.
Paris, octobre 1913. Germaine et Louise se rencontrent sur les bancs de l'école. C'est le début d'une ardente amitié, que vient percuter la Grande Guerre. Les pères s'en vont, les mères restent avec leurs filles. Cette guerre, qui assassine les uns et hante le regard des autres, donne la nausée à Germaine. Louise, elle, s'enflamme pour la patrie et ses soldats qui risquent leur vie pour elle. Les années passent, sanglantes. Certains rentrent, d'autres non. C'est l'après, suintant la guerre jusqu'à la moelle.
En 1924, sur l'île de la Grenouillère, à Chatou, on organise une " foire aux fiancés ", afin de former des couples qui " redonneront vie à la patrie ". On se regarde, on se frôle, on valse sur Ne bercez pas mon cœur. Les deux amies sont de la fête. Louise attire tous les regards. Surtout celui de Ferdinand, dont la joue barrée d'une cicatrice rappelle que la guerre continue bien après le silence des armes.
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